«Une belle histoire d’amour et sexe»

Quand le commence de l´été est arrivé, je me souviens, plain de mélancolie, de mes voyages a France, dans mon jeune âge, de mes vacances, et d´un été chargé de nombreuses aventures pour no dire cabronades.

Au mois d´avril, quand le fin de l´école était prochaine, une o deux fois par semaine, j´avais de demander permís a notre inspecteur, monsieur Pérez Antoine, pour aller à la Gendarmerie de la Place du Général Sare, en Úbeda naturalment, a fin de tramiter mon passeport. Tous les garçons et les filles de mon âge et de l´âge de notres antepasasés ils connaissent sobradament que je n´avais plus remedí que marcher une fois le cours c´est fini. Tous, moins notre inspecteur, monsieur Pérez Antoine, que n´avais ni pugnetaire idée de que allais la chose, ni jamais s´enterais de rien de rien. Une crois d´inspecteur, comme vous savez très bien. Et pourtant j´avais de recourir a notre bon ami, monsieur López Sébastien que, si bien c´est vérité que jamais m´avais fait une mauvais visage, ni jamais va dire non a mes demandes, aimais beaucoup me faire cognes marineres avec les surprises que le futur m´avais réservé, pendent mon voyage, en matière de faldes.

A l´heure de notre repos du matin, après la clase de Géographie avec monsieur Cueto Ferdinand, un group d´élèves autour de monsieur Sébastien écoutaient attentivement ses narrations: il parlait de les jeunes filles blondes et confies, tirant a lagartonnes, que a la vue d´un bizarre garçon espagnol –comme moi- étaient capables de perdre la tête et tout ça qu´il y a dessous de les tètes. Nous, maigre notre ignorance en matière de sexe, savaient parfaitement que une grande part des jeunes filles françaises étains comme ça, et les jeunes homes, un peu papillosons. Tous mes copains l´écoutaient avec une grande attention et je suis bien sûr, par l´éloquence de ses regardes, que beaucoup d´élèves dans le fond étaient plains d´envidí cochine, en pensant que mon voyage serais la lait, et la coquille de la Bernarde. Plus fort encore, étais le cachondier avais mes connotations et tristes attributs personnelles. Alors il parlait de mon évident attraction pour les dames par ce que j´étais haut, brune, mince, sensible et délicat, et pour remater la faène, mon nom: Denis, avec une exagéré prononciation pour dir. «Dòní, doucement. En une parole : la carabine d´Ambroise».
A la fin, avec le passeport dans ma poche, quand le jour de glbboire est arrivé, je vais partir à Barcelone. Trois jours après, avec ma valise plaine de livres par le suspense que monsieur Ocaña Doroteur m´avais encasqueté en la Revalide, je vais monter au train plus mouchée que un canard pour le Nöel. Le train à France marche pour la ligne de la Coste Catalane auprès la mer, et de là la fenêtre je pouvais observer parfaitement les groups de filles et garçons que jouent à la plage très contents, avec la main en la main, la bouche en la bouche, la main en la chose et je ne peut continuer pas, parce que cet article, peut être, no passera pas la censure.
L´été va passer très lentement, entre records et cabrées. Mes expériences étaient limités a un travail vraiment dur, où je les passé très noires en le manteniment, la netteté et le change de pièces d´une grande machine pour la fabrication de robe intime femenine. Je me souviens des collègues du travail françaises, turques, italiens et portuguêses, uns bons camarades sans doute. Mais une idée véritablement fort étais pressent pendent tout l´été : mon désir de tourner a l´Espagne, a Úbeda et au collège.
Comme vous voyez de jeunes filles ni mention, c´est a dire, que je ne me pas mangé ni une rosque ni la patte d´un grille, maigre mes indubitables attributs de jeune home, bizarre et espagnol.
A l´arrivée au collège, je vais souffrir un dur interrogatoire pour mes copains vraiment intéresses en mes expériences. Et quand je les raconté mes triomphes avec les douces, blondes et confiades jeunes filles françaises la bouche se les fait d´eau et la envidí cochine on réfléchis une autre fois dans ses faces. Record parfaitement ses commentaires: «C´est incroyable, surprenant, insolite et prodigieux».
Tout c´est false, mai dans le fond j´aimais beaucoup relater une aventure plus false que un dur sévillan par no rester en présence de mes copains comme un gilipolles que va passer trois mois a la terre du vin et seulement va boire d´eau très fraîche.

En fin que je ne pense pas tourner jamais pour mes vacances a France, que comme l´Espagne ni parler, par ce que c´est différent, et par ce que l´Espagne allez assez bien; et maigre que comme vous pouvez vérifier mon français c´est parfait, je suis d´accord avec l´opinion de ma grand mere, que un jour inoubliable sentenciais: «Yo no digo que los franceses no se entiendan, pero tan claro como nosotros, imposible».

Barcelona, 15 de julio de 2004.
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